L'article
Noël reste une fête incomparable
26.11.11 - Les sondages l’affirment en Suisse comme en France: Noël conserve une place particulière dans le cœur des gens. Décryptage.
Malgré le stress et les tensions familiales, Noël reste une fête aimée. Un sondage réalisé pour Quart d’heure pour l’essentiel par l’Institut Link montre que pour neuf personnes sur dix, Noël est l’occasion d’une fête de famille.
Noël, une fête religieuse
Un tiers de la population participe par ailleurs à un culte ou une messe de Noël (36,4%). Cette proportion grimpe même à 47,4% pour les jeunes couples avec enfants et à 41,5% pour les personnes de plus de cinquante ans. Seules 8,6% des personnes interrogées ne fêtent pas Noël. Ce sont en majorité des adeptes de religions autres que le christianisme.
Pour Christophe Monnot, responsable de recherches à l’Institut des sciences sociales des religions de l’Université de Lausanne et coauteur de l’étude PNR 58 sur les religions en Suisse, ce sondage confirme que «Noël joue un rôle essentiel dans la transmission de traditions familiales et religieuses».
L’histoire de Noël
A l’occasion des fêtes, un Suisse sur sept lit l’histoire de Noël dans la Bible. Les femmes davantage que les hommes, les personnes d’un niveau académique élevé davantage que les personnes de formation inférieure, les femmes au foyer davantage que les personnes occupant un emploi.
Un peu de solidarité à l’occasion de Noël
Près d’un tiers de la population considère que Noël est l’occasion d’exprimer sa solidarité avec ceux qui ont moins. Près d’une personne sur trois fait un don spécial à l’occasion de Noël. Cette générosité s’exprime encore davantage chez les couples d’un certain âge (40,6%).
Didier Chastagnier, major de l’Armée du Salut en Alsace, confirme qu’à l’approche de Noël, les gens sont plus ouverts aux élans de générosité et de solidarité. Un jour, alors qu’il était devant un grand magasin très chic, avec le stand «des marmites de Noël», une dame est sortie avec un énorme cadeau sous le bras.
Elle s’est arrêtée près d’une marmite pour mettre une pièce, avant de dire à l’officier salutiste: «Non, finalement je dois donner plus que cela. Ce cadeau était pour mon petit-fils. Mais il a déjà des dizaines de jouets, alors je vous laisse ce cadeau pour un enfant pauvre». Puis elle est partie précipitamment, les larmes aux yeux, se souvient-il.
Thomas Hanimann et Christian Willi
Noël, une fête religieuse
Un tiers de la population participe par ailleurs à un culte ou une messe de Noël (36,4%). Cette proportion grimpe même à 47,4% pour les jeunes couples avec enfants et à 41,5% pour les personnes de plus de cinquante ans. Seules 8,6% des personnes interrogées ne fêtent pas Noël. Ce sont en majorité des adeptes de religions autres que le christianisme.
Pour Christophe Monnot, responsable de recherches à l’Institut des sciences sociales des religions de l’Université de Lausanne et coauteur de l’étude PNR 58 sur les religions en Suisse, ce sondage confirme que «Noël joue un rôle essentiel dans la transmission de traditions familiales et religieuses».
L’histoire de Noël
A l’occasion des fêtes, un Suisse sur sept lit l’histoire de Noël dans la Bible. Les femmes davantage que les hommes, les personnes d’un niveau académique élevé davantage que les personnes de formation inférieure, les femmes au foyer davantage que les personnes occupant un emploi.
Un peu de solidarité à l’occasion de Noël
Près d’un tiers de la population considère que Noël est l’occasion d’exprimer sa solidarité avec ceux qui ont moins. Près d’une personne sur trois fait un don spécial à l’occasion de Noël. Cette générosité s’exprime encore davantage chez les couples d’un certain âge (40,6%).
Didier Chastagnier, major de l’Armée du Salut en Alsace, confirme qu’à l’approche de Noël, les gens sont plus ouverts aux élans de générosité et de solidarité. Un jour, alors qu’il était devant un grand magasin très chic, avec le stand «des marmites de Noël», une dame est sortie avec un énorme cadeau sous le bras.
Elle s’est arrêtée près d’une marmite pour mettre une pièce, avant de dire à l’officier salutiste: «Non, finalement je dois donner plus que cela. Ce cadeau était pour mon petit-fils. Mais il a déjà des dizaines de jouets, alors je vous laisse ce cadeau pour un enfant pauvre». Puis elle est partie précipitamment, les larmes aux yeux, se souvient-il.
Thomas Hanimann et Christian Willi
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Illustration/Photo: © Alliance PresseEn savoir plus